Le club des débats de la faculté de droits de Nihon University, université privée qui compte le plus d'étudiants au Japon, a refusé l'adhérence d'une étudiante d'origine coréenne. La raison du refus était l'inquiétude causée par la participation de cette "résidente" (zaïnichi). Les leaders du club pensaient qu'elle aurait des difficultés à s'intégrer, car les étrangers ont une culture différente.
Mais ils ne l'ont pas dit directement à la concernée. Ils lui ont expliqué la raison du refus ainsi: "Tu participes au séminaire des étudiants qui préparent le concours des avocats. Tu seras trop occupée pour participer à notre activité." Elle a appris la vraie raison par le biais d'un autre membre du club, et sa mère a porté plainte au comité des droits de l'homme de la faculté.
Les leaders du club se sont défendus en prétendant que la raison du refus n'était pas l'origine de la jeune fille, mais ils se sont excusés parce qu'ils ont blessé ses sentiments.
Le président a demandé pardon à l'étudiante, parce que ses sentiments ont été blessés, tout en précisant que ces personnes n'avaient probablement pas de sentiments raciaux.
L'étudiante en question est une "résidente" (zaïnichi) de troisième génération, ce qui veut dire que même ses parents ont grandi au Japon.
Je ne fais pas de commentaire, car l'histoire est trop lamentable.
Mais ils ne l'ont pas dit directement à la concernée. Ils lui ont expliqué la raison du refus ainsi: "Tu participes au séminaire des étudiants qui préparent le concours des avocats. Tu seras trop occupée pour participer à notre activité." Elle a appris la vraie raison par le biais d'un autre membre du club, et sa mère a porté plainte au comité des droits de l'homme de la faculté.
Les leaders du club se sont défendus en prétendant que la raison du refus n'était pas l'origine de la jeune fille, mais ils se sont excusés parce qu'ils ont blessé ses sentiments.
Le président a demandé pardon à l'étudiante, parce que ses sentiments ont été blessés, tout en précisant que ces personnes n'avaient probablement pas de sentiments raciaux.
L'étudiante en question est une "résidente" (zaïnichi) de troisième génération, ce qui veut dire que même ses parents ont grandi au Japon.
Je ne fais pas de commentaire, car l'histoire est trop lamentable.
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